Laurence Robert-Dehault Députée Rassemblement National de Haute-Marne
17/11/2024
J'ai rencontré de nombreux agriculteurs et représentants de l'industrie locale, qui m'ont exprimé leurs inquiétudes face à cet accord. Ils craignent pour leur avenir et celui de leurs familles, et je partage pleinement leurs préoccupations. Nous ne pouvons pas sacrifier notre souveraineté alimentaire et la qualité de nos produits sur l'autel du libre-échange.
De plus, l'accord Mercosur comporte des clauses qui, selon moi, vont à l'encontre de nos engagements en matière de protection de l'environnement. Autoriser l'importation massive de produits issus de la déforestation ou de pratiques agricoles non durables serait un pas en arrière dans notre lutte contre le changement climatique.
Je suis convaincue que nous devons explorer des alternatives qui respectent nos valeurs et protègent nos intérêts économiques et environnementaux. Je continuerai de défendre cette position au sein de l'Assemblée nationale et de plaider pour un commerce plus équitable et durable.
En conclusion, je dis non à l'accord Mercosur et j'appelle mes collègues et mes concitoyens à se joindre à moi pour défendre une vision de l'avenir qui soit à la fois prospère et respectueuse de notre planète.
17/11/2024
J'ai souligné que la communication de la France, sur ce sujet, apparaît souvent brouillée et manque de cohérence.
17/11/2024
J'ai souligné que ces engagements, souvent pris sans consultation préalable, devraient faire l'objet d'un vote par l'Assemblée nationale avant d'être annoncés. Cette démarche garantirait une plus grande transparence et une meilleure représentation des intérêts de nos concitoyens dans les décisions de politique étrangère.
En insistant sur ce point, j'ai rappelé l'importance de la démocratie parlementaire et du rôle central que doit jouer l'Assemblée nationale dans la validation des engagements internationaux. Il est essentiel que les décisions prises à l'étranger reflètent la volonté collective de nos représentants élus, et non seulement celle de l'exécutif.
Cette proposition vise à renforcer la légitimité des engagements internationaux de la France et à assurer une plus grande cohérence dans notre politique étrangère. En conclusion, mon intervention a été une occasion de réaffirmer mon engagement pour une diplomatie transparente et démocratique, où chaque décision majeure est soumise à l'approbation de l'Assemblée nationale.
15/10/2024
L’inauguration d’une stèle Mirage IV au Mémorial Charles de Gaulle à Colombey-les-Deux-Églises.
Un hommage fort et symbolique, rappelant l’engagement et l’histoire des forces aériennes stratégiques au service de la sécurité nationale.
15/10/2024
Le secteur du bâtiment et de la construction, employant environ 1,2 million de salariés, représente un pilier essentiel de l'économie nationale.
La FFB regroupe des milliers d'entreprises, dont une majorité de PME, jouant un rôle crucial dans l'innovation et la création d'emplois.
J’ai salué le dynamisme et la résilience des acteurs du secteur face aux défis économiques actuels.
J’ai souligné l’importance des initiatives en faveur de la transition écologique, incitant les entreprises à s'engager pleinement dans des pratiques durables et innovantes.
Il est indispensable d’envoyer un message fort de soutien et d’encouragement pour les professionnels du bâtiment, réaffirmant la nécessité de valoriser et de promouvoir ce secteur clé de l'économie française.
Soutenons nos entreprises du bâtiment, nos moteurs d’innovation et de croissance économique !
15/10/2024
Les axes stratégiques définis par le Conseil européen prennent-ils en compte cette hypothèse ? Mon intervention à l'Assemblée nationale
24/07/2024
Je tiens à vous assurer que je continuerai à travailler ardemment pour défendre vos intérêts, notamment en matière de pouvoir d’achat, de sécurité, de maîtrise de l’immigration, de santé et de tous les problèmes qui vous préoccupent.
Merci de votre confiance, et ensemble, nous poursuivrons notre engagement pour une Haute-Marne prospère et sécurisée.
Bien à vous,
Laurence Robert-Dehault
Députée de la deuxième circonscription de la Haute-Marne
22/05/2024
Il y a quelques mois, vous exprimiez des revendications légitimes face à la perte de vos revenus, aux normes réglementaires environnementales qui vous étouffent et à la concurrence déloyale que vous subissez.
Le gouvernement avait là une fenêtre de tir pour écouter vos revendications, mais comme à son habitude, il fait tout l'inverse et propose un texte qui va aggraver la situation des agriculteurs et des petits exploitants.
En effet, ce texte est dans la parfaite continuité des politiques qui tuent notre agriculture depuis des années.
Concrètement, le gouvernement propose la création d'une nouvelle structure administrative qui viendra s'ajouter au réseau des chambres départementales des lycées agricoles et des MSA.
La création d'un nouveau parcours administratif qui s’imposera aux agriculteurs depuis le moment où ils souhaitent prendre une exploitation jusqu’à sa transmission où encore la création d’un diagnostic modulaire environnemental extrêmement contraignant et obligatoire pour les agriculteurs qui souhaitent transmettre.
La question de vos revenus est la grande absente du texte.
Ce gouvernement est complètement à côté de la plaque et entend répondre à votre colère par plus de normes et plus d’écologie.
Pour lutter contre cette folie, j'ai déposé plusieurs amendements qui visent à supprimer cet excès de nouvelles contraintes écologiques. Je défendrai aussi un amendement pour assurer que la réforme de la fiscalité sur les transmissions agricoles serve les intérêts des petits exploitants.
Dans l'hémicycle, j’en profiterai également pour dénoncer l’hypocrisie faussement écologique du gouvernement qui, paradoxalement, continue d’empiler des traités de libre échange avec le monde entier.
Avec mes collègues, nous passeront les prochaines semaines à vous défendre, à défendre l'agriculture paysanne face au projet gouvernemental qui vise à ne laisser que les grosses exploitations industrielles.